Saluuuuuuut.
Je vais encore parler de moi aujourd’hui ! C’est bientôt la rentrée et dans une quinzaine de jour je vais rentrer en master 2 de recherche en littérature française et comparée. Enfin je crois parce que mon parcours est en pleine refonte donc les intitulés n’arrêtent pas de changer donc passons. Retenez simplement que j’étudie la littérature.
Avec les vacances, comme j’ai beaucoup de temps je me suis fait mon petit bilan sur cette année, ce qu’elle m’a apporté et comment je vois l’année à venir.
Et comme certains de mes amis me considèrent comme une sorte de Mère feuillage Lieder Price (ça c’est moi qui le dit) je vous fais profiter parce que, sait-on jamais, ça vous rappellera peut-être des souvenirs ou ça vous aidera !
- Ce n’est pas parce que ta licence a été un désastre que c’est impossible.
Alors pour le coup c’est peut-être un sentiment très personnel ou simplement la filière qui fait ça mais voilà : Ma licence ne s’est pas très bien passée. J’ai redoublé une année, je suis passée de justesse à chaque fois, très souvent au rattrapage et mes rédactions se soldaient très souvent par un immense échec au niveau de la note.
Pourtant j’avais très envie de continuer mes études en attendant de savoir quoi faire de ma vie pour m’enrichir encore plus et avoir plus de clefs pour le futur.
Par chance, j’avais déjà des amies dans ce master (les joies du redoublement) et j’avais donc, par elles, un aperçu du programme. J’ai donc suivi mon instinct et je ne l’ai pas regretté.
Je ne veux pas me vanter mais je n’ai plus eu de notes en dessous de la moyenne, pas non plus de rattrapages et j’ai vraiment la sensation de m’épanouir dans mes études, contrairement à la licence ou j’avais l’impression de subir mes études.
Donc même si vous êtes passé de justesse ou que vous êtes à un moment de votre vie ou vous n’avez pas confiance en vous, dîtes vous que tout est possible et surtout que les échecs passés ne sont pas forcément annonciateurs du résultat de vos épreuves futures !
- Le mémoire
Le mémoire ça peut être stressant et comme ça valide la moitié de votre année scolaire, du moins dans certains parcours, ça peut être décourageant. Il faut savoir que à Nantes, jusqu’à cette année, les mémoires se déroulaient souvent de cette façon ; un petit en master 1 et un deuxième en master 2. Plus rare mais possible, vous pouviez aussi faire un seul gros mémoire en deux ans.
Je ne vais pas vous répéter tous les conseils que vous pouvez trouver sur internet mais n’oubliez pas de prendre quelque chose qui vous plait. Vraiment. Parce que lorsque vous passerez une semaine non-stop à rédiger, vous serez bien content de le faire sur quelque chose qui vous plaît plutôt que sur quelque chose que vous auriez pris par défaut.
Ne vous inquiétez pas. Si vous avez peur de ne pas écrire assez, vraiment ne vous faîtes pas de biles. C’était une de mes plus grandes peurs. J’ai toujours eu l’habitude de faire le minimum syndical en cours (oui c’est mâl) et je stressais quelque peu à l’idée de ne pas pouvoir me défaire de cette mauvaise habitude. Mais encore une fois, mon sujet me plaisait et j’ai fini par faire bien plus que le minimum recommandé (et c’est aussi le cas de plusieurs de mes camarades).
Pensez plus globalement et dîtes vous que vous faîtes quelque chose de formidable qui contribue au monde de la recherche, que vous pourrez approfondir ou même qui servira à pleins de monde !
Dans tous les cas, pas de stress et ayez un peu confiance en vous.
Si j’ai validé mon mémoire en orthographiant mal le prénom de ma directrice de mémoire sur mon travail, vous pouvez le faire ! (Sad but True Story)
- De l’art de jongler avec son temps et d’en profiter
Je parle encore de ma paroisse mais, vraiment, en master recherche vous aurez du temps. Pleins de temps. Niveau cours si vous venez d’une licence de lettres modernes et que vous pensiez déjà ne pas avoir beaucoup de cours c’est encore pire. Ou mieux c’est comme vous le voyez. Moi ça m’a surtout permis de rentabiliser mon abonnement Netflix. Mais ça peut aussi vous permettre de trouver un job (moi je travaillais les samedis donc ça me laissait encore toute la semaine), de prendre du temps pour une asso, faire du sport ou même sortir un peu plus en ville.
Vous aviez déjà fait les musées de votre ville ? Les expos ? Ou simplement des endroits où vous n’êtes jamais allé ? Parce que je trouve qu’il n’y a rien de plus reposant que de se poser dans un parc entre deux cours.
Enfin tout ça pour dire que vous avez moyen d’utiliser le temps que vous aurez pour travailler mais aussi pour le faire autrement qu’en restant dans votre Bibliothèque universitaire bien aimée. Profitez-en pour aller à des séminaires, des conférences…. C’est l’occasion !
Voilà ce qu’il en est pour ce petit article. N’oubliez pas que quoi que vous fassiez vous en valez la peine et que vous en êtes capable !
See you nara !!
Le Blabla non organisé de Cofee 
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